Dans la plupart des pays, les services de lutte contre la tuberculose (TB) sont décentralisés jusqu’aux dispensaires
les plus périphériques et souvent au sein même des villages et des quartiers. Par contre, les services
de lutte contre le VIH/Sida sont généralement beaucoup plus centralis...és parce que la diffusion des
soins, notamment de la thérapie antirétrovirale (TARV), n’a commencé qu’assez récemment. De ce fait,
les patients qui ont besoin d’un traitement à la fois contre la tuberculose et le VIH/Sida peuvent être obligés
de se rendre dans deux établissements distincts et ainsi d’avoir à parcourir de longues distances pour
accéder aux soins. L’absence de services intégrés TB/VIH peut provoquer des retards dans le diagnostic
et le traitement, et même se traduire par un mauvais suivi des traitements, voire par des interruptions. Par
ailleurs, les patients ont à supporter la charge financière des frais de déplacement et des autres coûts indirects,
tels que de longs temps d’attente et une perte de revenu
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A book of methods, aids, and ideas for instructors at the village level
An indispensable resource for health educators, this book provides hundreds of methods, aids, and learning strategies to make health education engaging and effective, encouraging community involvement through participatory edu...cation.
You can download chapter by chapter free of charge
The previous version (2005) is freely available here
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Update of the Mental Health Gap Action Programme
(mhGAP) Guideline for Mental, Neurological and Substance use Disorders May 2015
Pour le personnel de santé et les travailleurs de la nutrition dans les situations d’urgence
Résumé.
Malgré les efforts de promotion des mutuelles de santé depuis une décennie et l’existence d’une vingtaine de compagnies privées proposant des polices d’assurance maladie, moins de 1% de la population camerounaise bénéficie d’une couverture maladie. Les facteurs sous jacents ...sont entre autres : (i) la méfiance des ménages vis-à-vis des mutuelles de santé et des assureurs privés; (ii) l’absence d’obligation d’une assurance maladie qui en fait un produit de luxe ; (iii) l’ignorance des avantages des mécanismes assurantiels; (iv) la pauvreté et le montant élevé des primes d’adhésion et des cotisations annuelles ; et (v) la forte prévalence de l’emploi dans le secteur informel (80,6%). Pour y faire face nous proposons de : 1) Créer et pérenniser un environnement favorable à la promotion et au développement des MS ; 2) Subventionner les primes par le Gouvernement, les Partenaires et les Municipalités pour en réduire le prix d’achat ; 3) Instituer une collecte flexible des primes et établir un dispositif attractif de mutualisation du risque et des procédures d’achat qui inspirent confiance aux usagers et aux prestataires des soins.
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