L'application de la technologie de santé numérique se développe rapidement en Afrique, dans
le but d'améliorer la prestation des services de santé et d'atteindre plus efficacement les
communautés éloignées et mal desservies. D'autre part, l'absence de lignes directrices et de
normes da...ns l'ensemble du continent rend difficile le partage des données de manière
significative sur l'ensemble du continent. C'est pourquoi les Centres africains de contrôle et
de prévention des maladies (Africa CDC) ont mis en place un groupe de travail composé de 24
membres afin de fournir une expertise et des conseils pour l'élaboration des lignes directrices
et des normes de l'UA en matière de HIE. Les membres du groupe de travail étaient des
experts en la matière travaillant en Afrique et au niveau international sur la collecte, l'analyse
et l'échange d'informations sur la santé. Certains de ces experts avaient participé à des
consultations antérieures sur la définition de la stratégie des systèmes d'information sur la
santé d'Afrique CDC. Un président, un coprésident et un secrétaire ont été élus pour impliquer
les membres de la tasé force dans différents groupes de travail techniques.
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The World Health Organization (WHO) endorses the use of population-based prevalence surveys for estimating the prevalence of trachoma. In general, the prevalence of TF in children aged 1–9 years and the prevalence of TT in adults aged ≥ 15 years are measured at the same time in any district bein...g surveyed. This was the approach of the Global Trachoma Mapping Project, which undertook baseline surveys in > 1500 districts worldwide in order to provide the data required to start interventions where needed.
The survey design recommended by WHO is a two-stage cluster random sample survey, which uses probability proportional to size sampling to select 20–30 villages, and random, systematic or quasi-random sampling to select 25–30 households in each of those villages. In most surveys, everyone aged ≥ 1 year living in selected households is examined.
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Résumé.
Malgré les efforts de promotion des mutuelles de santé depuis une décennie et l’existence d’une vingtaine de compagnies privées proposant des polices d’assurance maladie, moins de 1% de la population camerounaise bénéficie d’une couverture maladie. Les facteurs sous jacents ...sont entre autres : (i) la méfiance des ménages vis-à-vis des mutuelles de santé et des assureurs privés; (ii) l’absence d’obligation d’une assurance maladie qui en fait un produit de luxe ; (iii) l’ignorance des avantages des mécanismes assurantiels; (iv) la pauvreté et le montant élevé des primes d’adhésion et des cotisations annuelles ; et (v) la forte prévalence de l’emploi dans le secteur informel (80,6%). Pour y faire face nous proposons de : 1) Créer et pérenniser un environnement favorable à la promotion et au développement des MS ; 2) Subventionner les primes par le Gouvernement, les Partenaires et les Municipalités pour en réduire le prix d’achat ; 3) Instituer une collecte flexible des primes et établir un dispositif attractif de mutualisation du risque et des procédures d’achat qui inspirent confiance aux usagers et aux prestataires des soins.
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Les présentes lignes directrices ont pour objet de préparer les pays d’endémie à arrêter l’AMM à l’issue du traitement, à passer à la surveillance post-thérapeutique ainsi qu’à confirmer l’interruption de la transmission à l’issue de la phase 2 et à débuter la surveillance p...ost-élimination.
Le but est de fournir un outil actualisé pour atteindre et vérifier l’élimination de la
transmission d’Ovolvulus à l’issue des programmes d’élimination de l’onchocercose qui utilisent principalement l’AMM.
Les objectifs sont de :
• formuler des recommandations basées sur des preuves à l’intention des prestataires de soins et des décideurs en matière de politique pour démontrer et confirmer l’interruption de la transmission d’O. volvulus avant, pendant et après la surveillance post-thérapeutique ;
• informer les utilisateurs finaux des procédures nécessaires pour vérifier l’élimination de l’onchocercose humaine.
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Centre de traitement des infections respiratoires aiguës sévères : manuel pratique pour la mise en place et la gestion d’un centre de traitement des IRAS et d’une unité de dépistage des IRAS dans les établissements de soins
INITIATIVE «ALL IN» EN RDC, Rapport Phase 1
dans le contexte de la pandémie de COVID-19
Psychiatry de l'enfant et pediatrie
Chapitre I.1
Edition en français Traduction : Virginie Stalin
Sous la direction de : Priscille Gérardin Avec le soutien de la SFPEADA
Le secteur de la santé a beaucoup évolué au cours des 20 dernières années. Les innovations technologiques ainsi que notre connaissance des maladies ont contribué à allonger l’espérance de vie au 20ème siècle. Cependant, l’un des plus grands défis
aujourd’hui n’est pas de rester a...u fait des procédures cliniques les plus récentes ou des équipements de haute technologie dernier cri, mais plutôt d’améliorer la sécurité des soins dispensés dans des environnements complexes, sous pression et où la
rapidité d’action joue un grand rôle. Dans ce type d’environnements, les choses peuvent souvent mal tourner. Des événements indésirables surviennent. Des dommages non intentionnels, mais graves, affectent des patients dans le cadre de
la pratique clinique habituelle ou consécutivement à une décision clinique.
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Le but de ce document des directives est de contribuer à une mise en oeuvre harmonieuse de
la politique nationale de santé communautaire et l’objectif principal est de permettre aux parties
prenantes de disposer d’une ligne de conduite claire pour la mise en oeuvre de la politique de santé
...
communautaire.
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Au cours des dix dernières années, les ONG humanitaires ont fait de plus en plus fréquemment appel aux Entreprises de sécurité privées (ESP). On observe l’existence d’un écart entre la manière dont les ONG utilisent les ESP dans la réalité et la régulation d’une telle relation. Ces ...orientations ont pour objet d’aider les ONG humanitaires à prendre une décision en connaissance de cause sur quand, comment et dans quelles conditions, recourir aux services d’une ESP. Ces orientations sont destinées aux responsables opérationnels des ONG au niveau du siège et du terrain. Ces orientations ne couvrent pas uniquement des activités de surveillance ou de protection armées, mais peuvent être appliquées à une gamme plus étendue de services assurés par les ESP.
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