The strategy recommends that AU Member States should enhance, where feasible, existing COVID-19 surveillance to include:
Community-based surveillance to detect symptomatic cases early for treatment and to avert viral transmission;
Sentinel surveillance in high-risk populations to detect ...and track both presymptomatic and asymptomatic cases; and
Wastewater surveillance to monitor early environmental signs of virus transmission and identify communities where targeted interventions can be implemented to decrease transmission.
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Learning sheet no. 4
Accessed March, 2025
ICTC’s 2022-2030 strategic plan spans the critical period running to the end of 2030, the year by which we are striving to achieve the elimination of trachoma as a public health problem. This strategic plan is in alignment with the NTD road map, Ending the neglect to attain the Sustainable Develop...ment Goals: a road map for neglected tropical diseases 2021−2030.
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Africa’s health sector is facing an unprecedented financing crisis, driven by a sharp decline of 70% in Official Development Assistance (ODA) from 2021 to 2025 and deep-rooted structural vulnerabilities. This collapse is placing immense pressure on Africa’s already fragile health systems as ODA ...is seen as the backbone of critical health programs: pandemic preparedness, maternal and child health services, disease control programs are all at
risk, threatening Sustainable Development Goal 3 and Universal Health Coverage. Compounding this is Africa’s spiraling debt, with countries expected to service USD 81 billion by 2025—surpassing anticipated external financing inflows—further eroding fiscal space for health investments. Level of domestic resources is low. TThe Abuja Declaration of 2001, a pivotal commitment made by African Union (AU) member states, aimed to reverse this trend by pledging to allocate at least 15% of national budgets to the health sector. However, more than two decades later, only three countries—Rwanda, Botswana, and Cabo Verde—have
consistently met or exceeded this target (WHO, 2023). In contrast, over 30 AU member states remain well below the 10% benchmark, with some allocating as little as 5–7% of their national budgets to health.
In addition, only 16 (29%) of African countries currently have updated versions of National Health Development Plan (NHDP) supported by a National Health Financing Plan (NHFP). These two documents play a critical role in driving internal resource mobilisation. At the same time, public health emergencies are surging, rising 41%—from 152 in 2022 to
213 in 2024—exposing severe under-resourcing of health infrastructure and workforce. Recurring outbreaks (Mpox, Ebola, cholera, measles, Marburg…) alongside effects of climate change and humanitarian crises in Eastern DRC, the Sahel, and Sudan, are overwhelming systems stretched by chronic underfunding. The situation is worsened by Africa’s heavy dependency with over 90% of vaccines, medicines, and diagnostics being externally sourced—leaving countries vulnerable to global supply chain shocks. Health worker shortages persist, with only 2.3 professionals
per 1,000 people (below the WHO’s recommended 4.45), and fewer than 30% of systems are digitized, undermining disease surveillance and early warning. Without decisive action, Africa CDC projects the continent could reverse two decades of health progress, face 2 to 4 million additional preventable deaths annually, and a heightened risk of a pandemic emerging from within. Furthermore, 39 million more
Africans could be pushed into poverty by 2030 due to intertwined health and economic shocks. This is not just a sectoral crisis—it is an existential threat to Africa’s political, social, and economic resilience, and global stability. In response, African leaders, under Africa CDC’s stewardship, are advancing a comprehensive three-pillar strategy centered on domestic resource mobilization, innovative financing, and blended finance.
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Première Conférence ministérielle mondiale de l’OMS
Mettre fin à la tuberculose à l’ère du développement durable : une réponse multisectorielle
Moscou, Fédération de Russie, 16-17 novembre 2017
L'application de la technologie de santé numérique se développe rapidement en Afrique, dans
le but d'améliorer la prestation des services de santé et d'atteindre plus efficacement les
communautés éloignées et mal desservies. D'autre part, l'absence de lignes directrices et de
normes da...ns l'ensemble du continent rend difficile le partage des données de manière
significative sur l'ensemble du continent. C'est pourquoi les Centres africains de contrôle et
de prévention des maladies (Africa CDC) ont mis en place un groupe de travail composé de 24
membres afin de fournir une expertise et des conseils pour l'élaboration des lignes directrices
et des normes de l'UA en matière de HIE. Les membres du groupe de travail étaient des
experts en la matière travaillant en Afrique et au niveau international sur la collecte, l'analyse
et l'échange d'informations sur la santé. Certains de ces experts avaient participé à des
consultations antérieures sur la définition de la stratégie des systèmes d'information sur la
santé d'Afrique CDC. Un président, un coprésident et un secrétaire ont été élus pour impliquer
les membres de la tasé force dans différents groupes de travail techniques.
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Le choléra reste une menace mondiale pour la santé publique et un indicateur clé du
manque de développement social. La transmission du choléra est étroitement liée à
l’accès insuffisant à l’eau potable et à l’assainissement. Les zones typiques à risque sont
notamment les bido...nvilles périurbains et les zones rurales où les infrastructures de base
ne sont pas disponibles, ainsi que les camps de personnes déplacées ou de réfugiés où
les conditions de vie et l’accès à l’eau et aux systèmes d’assainissement sont insuffisants.
En 2015, plus de 170 000 cas et 1 300 décès (TL : 0,8 %) ont été signalés à l’OMS dans
42 pays, dont 41 % en Afrique 37 % en Asie et 21 % en Haïti. C
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En 2006, la session extraordinaire des ministres de la Santé de l’Union africaine a adopté le Plan d’action de Maputo pour la mise en œuvre du cadre politique continental sur la santé et les droits sexuels et
reproductifs (SDSR), qui a expiré fin 2015. L’objectif était que toutes les pa...rties prenantes et partenaires
d’unir leurs forces et de redoubler d’efforts, afin qu’ensemble, la mise en œuvre efficace du cadre politique continental, y compris l’accès universel à la santé sexuelle et reproductive d’ici 2015, dans tous les
pays d’Afrique puisse être réalisée. Le Plan d’action révisé de Maputo (MPoA) 2016-2030 a ensuite été
approuvé par les chefs d’État de l’Union africaine lors du 27e sommet de l’UA en juillet 2016 à Kigali,
au Rwanda. Le plan renforce l’appel en faveur d’un accès universel à des services complets de santé
sexuelle et reproductive en Afrique et jette les bases des objectifs de développement durable, en particulier les objectifs 3 et 5, ainsi que de l’Agenda 2063 de l’Union africaine.
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Trachoma is an eye infection that for thousands of years caused many people to go blind across all continents. As the result of development and targeted interventions, trachoma is now limited to an estimated 57 countries, often affecting the poorest
populations of the world. Today, more than 2 mill...ion people are either blind or suffer from a very painful disability as the result of trachoma.
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Mettre fin au choléra- Feuille de route mondiale pour 2030 rend opérationnelle la nouvelle stratégie mondiale de lutte contre le choléra au niveau des pays et fournit une voie concrète vers un monde où le choléra ne représente plus une menace pour la santé publique. En mettant en œuvre la ...stratégie d’ici à 2030, les partenaires du Groupe spécial mondial de lutte contre le choléra (GTFCC) aideront les pays à réduire de 90 % les décès dus au choléra. Avec l’engagement des pays touchés par le choléra, des partenaires techniques et des donateurs, pas moins de 20 pays pourraient éliminer la transmission de la maladie d’ici 2030.
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Plan stratégique 2022-2030 de l’ICTC
18 Janaury 2021
EU/EEA Member States and the UK have increased their laboratory capacity tremendously over the past 11 months as the majority of the Member States reported sufficient testing capacity until March 2021.
Many countries are adding rapid antigen detection tests (RADT) to their ...testing strategies in order to reduce pressure on RT-PCR testing.
Some Member States have already included RADT in their case definition.
The main bottlenecks, such as shortages of laboratory consumables and human resources, as well as sample storing facilities, continue to exist and may affect the overall laboratory response to COVID-19.
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