Ces directives sont destinées à ceux qui sont responsables de l'élaboration des politiques et de la supervision des pratiques professionnelles des infirmières, des sages-femmes et d'autres prestataires de la santé. Elles veulent également promouvoir le combat contre la "médicalisation" de ces pratiques et apporter un soutien aux infirmiers, sages-femmes et tout autre personnels de santé afin qu'ils observent les directives de l'OMS préconisant de ne pas suturer une infibulation ouverte.