Bulletin de l'APAD, 21 | 2001
It is often observed that educated women have lower birth rates than do the less educated, inviting a causal interpretation. However, educated women also differ from those who have never attended school in a
variety of other ways: the two factors are multiply related. This article analyzes the rela...tionship between schooling and fertility in contemporary Cameroon as both a statistical and a social phenomenon, using data from the 1998 Cameroon DHS alongside ethnographic field data collected by
the author. T
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Buruli ulcer is caused by infection with Mycobacterium ulcerans. The disease is reported in more than 33 countries worldwide, but only about half of these countries regularly report data to WHO; most cases are reported from subregions of West and Central Africa. The mode of transmission is not known....
About half of those affected are children aged under 15 years; there is no gender difference. Diagnosis is based mainly on clinical and epidemiological characteristics. Of the four methods used for laboratory confirmation (microscopy, polymerase chain reaction (PCR), histopathology and culture), PCR is the most rapid and widely used. Other rapid methods for detection of mycolactone in lesions from suspected cases, such as fluorescent thin-layer chromatography, are under evaluation in four countries in Africa.
Research to develop point-of-care tests is in progress. Treatment of Buruli ulcer comprises 8 weeks of combined antibiotics (rifampicin and clarithromycin). Complementary therapies such as wound care, skin graft and prevention of disability are needed in some cases to ensure full recovery.
The target set by the World Health Organization (WHO) for control of Buruli ulcer is for countries to achieve a rate of case confirmation by PCR of at least 70%. All endemic countries have at least one PCR facility to support confirmation of cases. However, most countries in the WHO African Region have not been able to reach the target, and the rate of case confirmation has been declining
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L’ulcère de Buruli, une infection causée par Mycobacterium ulcerans, touche plus de 33 pays dans le monde, mais un peu moins de la moitié seulement de ces pays communiquent régulièrement des données sur la maladie à l’OMS. La plupart des cas notifiés se trouvent dans les sous-régions d...Afrique occi-
dentale et centrale. Le mode de transmission de l’ulcère de Buruli n’est pas connu. Environ la moitié des personnes touchées sont des enfants de moins de 15 ans et les deux sexes sont concernés à parts égales.
Le diagnostic repose principalement sur l’observation des caractéristiques cliniques et épidémiologiques.
Parmi les quatre méthodes de confirmation utilisées (examen microscopique, amplification en chaîne par polymérase (PCR), histopathologie et mise en culture), la PCR est la plus rapide et la plus courament employée. D’autres méthodes rapides, comme l’utilisation de la chromatographie sur couche mince par fluorescence pour détecter la mycolactone dans les lésions des cas suspects d’ulcère de Buruli, sont actuellement à l’étude dans quatre pays d’Afrique. Des travaux de recherche sont en cours pour mettre au
point des tests utilisables sur le lieu des soins. Le traitement de l’ulcère de Buruli consiste à administrer une association d’antibiotiques (rifampicine et clarithromycine) pendant 8 semaines. Des traitements complémentaires, comme le soin des plaies, les greffes cutanées et la prévention des incapacités, sont nécessaires dans certains cas pour parvenir à une guérison complète.
La cible fixée par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) exigée des pays pour assurer la lutte contre l’ulcère de Buruli est la confirmation d’au moins 70 % des cas par PCR pour chaque pays. Tous les pays d’endémie disposent d’au moins un établissement doté des moyens nécessaires pour effectuer les tests de PCR pour la confirmation des cas. Cependant, la plupart des pays de la Région africaine n’ont pas réussi à atteindre la cible fixée. Un déclin du taux de confirmation a même été observé.
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