1. MYTH: Sexual violence is just another stressor in populations exposed to extreme stress: there is no need to do anything special to address sexual violence | 2. MYTH: The most important consequence of sexual violence is posttraumatic stress disorder (PTSD) | 3. MYTH. Concepts of mental disorders ...– such as depression and PTSD – and treatment for mental health problems have no relevance outside western cultures | 4. MYTH: All sexual violence survivors need help for mental health problems | 5. MYTH: Mental health and psychosocial supports should specifically target sexual violence survivors | 6. MYTH: Vertical (stand-alone) specialized services are a priority to meet the needs of sexual violence survivors | 7. MYTH: The most important support is specialized mental health care | 8. Only psychologists and psychiatrists can deliver services for sexual violence survivors | 9. MYTH: Any intervention is better than nothing | 10. MYTH: Only the victim/survivor suffers as a result of sexual violence
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For the Assesor's Guide Vol 1 and 2 see: nrhm.gov.in/images/pdf/programmes/maternal-health/guidelines/Operational_Guidelines_for_Quality_Assurance_in_Public_Health_Facilities_and_checklists-3_books.zip
La santé de la reproduction des adolescent(e)s reste encore une préoccupation de
santé publique. Le but de cet article est de partager l’expérience d’un projet visant
l’intégration des services de santé de la reproduction en milieu scolaire au Sénégal et
d’exposer les leçons ...apprises de cette expérience.
Ce présent article relate les différentes actions menées dans le cadre de l’offre des services de SR en milieu scolaire et les leçons apprises d’une telle expérience.
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Le programme de Participation Communautaire pour la Santé Reproductive et Sexuelle des Jeunes au Burkina se fonde sur la conviction que pour mieux contribuer à la résolution des problèmes des jeunes, l’élaboration et la mise en ouvre des programmes doivent se faire de sorte que ce soient les ...jeunes eux-mêmes qui soient les principaux acteurs, avec l’appui des adultes. Ainsi les jeunes ne devraient plus être considérés tout simplement comme des cibles vers lesquelles il faut développer des interventions ; mais plutôt des partenaires par qui et pour qui les programmes doivent être développés.
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