Par ailleurs l’existence d’éléments épidémiologiques en faveur d’une sous-estimation du nombre réel de cas de COVID-19 et de l’existence d’une transmission communautaire soutenue dans une zone géographique pour lesquels les deux critères ci-dessus ne sont pas observés pourra être prise en compte dans la décision de l’inclure dans la liste des zones d’exposition à risque (par exemple : un taux de mortalité parmi les cas confirmés beaucoup plus élevé qu’attendu ; la détection de cas exportés depuis cette zone dans plusieurs pays ; une proportion importante des cas confirmés sans historique de voyage/séjour dans une zone d’exposition à risque ni contact identifié avec un cas confirmé de COVID-19).